Casimir et Caroline

de Ödön von Horváth, mise en scène Jacques Nichet

du 7 mai au 13 juin 1999 au Grand Théâtre

C’est une ballade, celle du chauffeur sans travail Casimir, et de sa fiancée Caroline aux grandes ambitions, ballade d’une tristesse sereine, atténuée par l’humour, c’est-à-dire la banale certitude : « Il faut bien mourir ! » (…) Tous les critiques ou presque ont écrit qu’il s’agissait d’une satire de Munich et de sa fête de la bière – je n’ai pas besoin de souligner qu’on s’est totalement trompé sur mes intentions, sur le lieu et le contenu ; il ne s’agit absolument pas d’une satire… (…) Je ne suis pas un auteur satirique, Messieurs ! On me reproche d’être grossier, trop répugnant, trop inquiétant et étrange, trop cynique et que sais-je encore parmi ce genre de solides qualités… et on oublie que ma seule ambition est de peindre le monde tel que hélas ! il est.

Ödön von Horváth

équipe artistique

de Ödön von Horváth 

texte français Henri Christophe 

mise en scène Jacques Nichet 

assistante à la mise en scène Solange Oswald 

décor Pierre Heydorff 

costumes Nathalie Prats-Berling 

musique Georges Baux, Didier Labbé 

espace sonore Bernard Valléry 

lumière Marie Nicolas

maquillage Cécile Kretschmar 

avec Bouzid Allam, Jean-Pol Dubois, Philippe Fretun, Micha Lescot, Jacques Mazeran, Véronique Octon, Stéphanie Schwartzbrod, Samira Sedira, Abdel Sefsaf, Marie Vialle, Nathalie Vidal, Daniel Znyk 

musiciens Didier Labbé, Laurent Guitton, Didier Dulieux, Eric Boccalini, Jean-Christophe Noël

Photo © Laurencine Lot
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production

Théâtre de la Cité, Théâtre National de Toulouse-Midi Pyrénées

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